Nous sommes à la mi-avril, la saison régulière vient de s’acherver. Pendant que les équipes participant aux playoffs se préparent pour les joutes du premier tour, les instances de la NBA rendent officielles les récompenses de fin d’année. Dans les All-NBA Teams, on retrouve :
1st Team : Allen Iverson – Penny Hardaway – Dirk Nowitzki – Chris Webber – Shaquille O’Neal
2nd Team : Steve Nash – Brent Barry – Jerry Stackhouse – Shareef Abdur-Rahim – Kevin Garnett
3rd Team : Sam Cassell – Tracy McGrady – Grant Hill – Juwan Howard – Tim Duncan
Comme l’an passé, on peut observer quelques incohérences : 4 meneurs sont présents dans les All-NBA Teams, mais certains absents de marque sont à déplorer. Le plus fameux d’entre eux se nomme bien sûr Jason Kidd, encore snobé par les votants. Mais quelques grands absents comme Nick Van Exel peuvent être mentionnés. Comment expliquer ces choix du log ? Une hypothèse serait de dire que le log privilégie les meneurs scoreurs. En effet, on peu constater que les 4 meneurs présents dans les All-NBA Teams sont tout simplement les 4 meilleurs marqueurs au poste de meneur, et qu’ils sont également nommés dans l’ordre exact du scoring (exception faite de Chauncey Billups, catalogué arrière). Le log se contenterais donc de mettre les meilleurs scoreurs ? C’est possible, mais ça ne rendrait pas hommage aux profils qui ne sont pas ceux des meneurs scoreurs.
C’est pour cela que le commish nous propose une autre vision du poste de meneur, ne tenant pas exclusivement compte du scoring mais également d’autres points de vue, qui sont :
Le PER (ou ranking)
La qualité en temps que gestionnaire (assist, ratio assist/to, CCP)
L’efficacité offensive des équipes et des meneurs
L’efficacité défensive des équipes et des meneurs
Pour cette étude ont été sélectionnés les 17 meneurs tournant à plus de 5 assists par match. Ils comprennent les 14 meneurs titulaires d’équipe en playoffs (manque seulement le meneur de Denver Anthony Johnson et Jason Terry, celui des Rockets) ainsi que 3 joueurs issus d’équipes absentes de la postseason : les jeunes Mike Bibby et Andre Miller ainsi que la gloire du passé Tim Hardaway.
On peut noter quelques absences de marques comme Chauncey Billups, Gary Payton, Darrick Martin, John Stockton ou encore David Wesley.
Le sacro-saint ranking
Dans la catégorie du ranking, un meneur boxe à part. Il s’agit de Penny Hardaway, tout devant avec ses 26,3 points de PER. Derrière, le deuxième meneur est de manière assez surprenante Steve Nash avec 20,6 de ranking. Jason Kidd complète le podium avec 19,6 points, suivi de près par Sam Cassell (18,9) et Nick Van Exel (18,5). Pourtant All-NBA First Team, Allen Iverson n’est que 6ème au ranking avec 17,7 points. Le trou est fait avec les suivants : 16,1 pour Terrell Brandon et 15,9 pour Andre Miller, respectivement 7ème et 8ème meneurs à plus de 15 de ranking. Les anciens coéquipiers Damon Stoudamire (14,3) et Kenny Anderson (13,5 malgré le plus faible temps de jeu des 17 joueurs) complètent le Top 10. Suivent ensuite Stephon Marbury et Rafer Alston (13,3 chacun), Mike Bibby et Brevin Knight (12,9 chacun) ainsi que Travis Best (12,8). Les deux trentenaires Tim Hardaway (9,9) et Rod Strickland (9,5) ferment la marche et sont les deux seuls joueurs étudiés sous le seuil des 10 points de ranking.
Après le premier point étudié, on peut déjà faire quelques constats : Allen Iverson est un peu à la traîne comparé aux meilleurs meneurs (un peu surcôté le AI ?). Nick Van Exel et Jason Kidd se détachent déjà comme les grands oubliés des All-NBA Teams. Dans les bonnes pioches, on peut voir que Kenny Anderson est 10ème mais à un meilleur ratio ranking/minutes que Damon Stoudamire et Andre Miller.
2) La qualité de gestion d’un meneur
Pour le grand public, on fait souvent le raccourci facile que les meilleurs passeurs sont généralement les meilleurs gestionnaires, mais il n’en est rien.
Dans cette partie, on va parler du CCP comme juge de paix. Mais qu’est-ce que le CCP ? C’est une formule mathématique qui met en relief l’apport au passing d’un joueur en fonction du nombre de possession joué (en comparaison avec le nombre moyen dans la Ligue), le ratio assist/turnover avec un malus appliqué aux assists (on suppose qu’une perte de balle est plus préjudiciable qu’une passe décisive est positive) et le nombre de minutes jouées.
La formule du CCP est la suivante : CCP = 100 * [(Pace League/Pace Team) * [(assist * 2/3) – turnovers]].
Littéraires passez votre chemin, facile de s’y perdre dans les stats avancées ^^
Le meilleur passeur de la NBA domine aussi largement le classement du CCP : Nick Van Exel a un CCP de 11,0 grâce à son ratio assist/turnover le plus élevé de la Ligue (8,1 assist pour 1,8 turnover, soit un ratio de 4,55 !). Le seul à tenir le rythme du joueur des Raptors se nomme sans surprise Jason Kidd : 7,5 assist, 1,8 turnover, un ratio de 4,167 pour un CCP de 10,57.
Derrière, personne ne tient le rythme du duo de tête. Le dernier membre du podium se nomme Kenny Anderson (5,3 assist / 1,5 turnover / ratio de 3,533/ CCP de 7,56) qui confirme un peu son statut de meneur sous-estimé. C’est le joueur avec le moins de turnover des 17 meneurs étudiés !
On continue le classement avec Brevin Knight (6,2 / 1,9 / 3,263 / 7,19), Steve Nash (6,5 / 1,9 / 3,421 / 6,88) et Mike Bibby (6,3 / 2,2 / 2,864 / 6,63), trois jeunes meneurs déjà parmis les meilleurs gestionnaires de la Ligue. Viennent ensuite Damon Stoudamire (6,1 / 2,0 / 3,05 / 6,50), Tim Hardaway (5,5 / 1,7 / 3,235 / 6,43), Rafer Alston (6,0 / 2,0 / 3,0 / 6,02) et enfin Terrell Brandon (5,5 / 2,0 / 2,75 / 5,72) pour finaliser le Top 10.
On descend dans le classement avec le 11ème Stephon Marbury (6,8 / 2,7 / 2,51 / 5,69) qui précède Travis Best (5,6 / 2,1 / 2,667 / 5,42), Sam Cassell (6,1 / 2,5 / 2,44 / 5,06), Rod Strickland (5,5 / 2,2 / 2,5 / 4,88) et d’Andre Miller (6,1 / 2,6 / 2,346 / 4,75).
Aux deux dernières places de ce classement, on retrouve….. les deux All-NBA First Team ! Une nouvelle preuve que la NBA privilégie le spectacle à l’efficacité. Penny Hardaway est 16ème avec 6,8 assists pour 3,1 turnovers (ratio de 2,19) pour un CCP de 3,86. Bon dernier, Allen Iverson ne totalise qu’un CCP de 2,49 à cause de son ratio le plus faible : 6,1 assists pour 3,2 turnovers (le plus gros total NBA !) pour un ratio de 1,906 seulement.
Au vu de ce deuxième point, on peut confirmer quelques tendances : Allen Iverson semble bien trop haut en All-NBA 1st Team, tandis que Kenny Anderson confirme son statut de steal des meneurs. Parmis les joueurs les plus prometteurs, on voit que c’est Mike Bibby qui a un avantage certain même si son CCP est boosté par son bonus dû au Pace des Warriors, le plus faible des 17 équipes concernées par cette étude. Brevin Knight compense de en côté des faibles prédispositions offensives par une gestion du jeu hors norme. Mais avec Ben Wallace, ça fait donc deux titulaires qui sont des poids morts au scoring, ne serait-ce pas rédhibitoire pour les Wolves ? Enfin, on peut voir que Rod Strickland est vraiment à la traîne sur ses deux qualités principales dans son prime, l’heure de la retraite approche à grands pas. C’est tout le contraire pour Tim Hardaway qui a su se réinventer du puncheur formidable du temps du Run TMC au gestionnaire très intéressant des Sonics (6ème meilleur ratio assist/turnover, 8ème CPP).
3) L‘efficacité offensive
Le classement simple de l’efficacité offensive des 17 meneurs est le suivant :
112,5 points/100 possessions pour Jason Kidd, suivi de Nick Van Exel (110,9) et de Terrell Brandon (109,1). Le reste du Top 10 est complété par Penny Hardaway (108,1), Stephon Marbury (107,4), Steve Nash (106,3), Damon Stoudamire (106,2), Rafer Alston (105,5) Allen Iverson (104,2) et Sam Cassell (103,6). Hors du Top 10, on retrouve Kenny Anderson (101,7), Travis Best (101,2), Brevin Knight (99,3), Mike Bibby (99,0) et Andre Miller (96,7). Enfin, comme pour le ranking, Tim Hardaway (99,2) et Rod Strickland (92,0) ferment la marche.
On s’arrête là ? Non, ce serait trop simple, et surtout très cruel pour les meneurs des équipes les plus faibles. En effet, il est plus simple d’être performant offensivement quand on est entouré de Shawn Kemp et T-Mac qu’entouré de Rip Hamilton et Jumaine Jones.
On va du coup étudier l’apport de chaque meneur pour son équipe. Pour cela, on va faire le différentiel entre l’efficacité de l’équipe avec le meneur sur le terrain et quand il est sur la touche. Et là, le classement n’a plus rien a voir !
L’homme le plus influent offensivement pour son équipe se nomme Steve Nash avec un différentiel de + 4.1, talonné par Jason Kidd (+ 4.0) et par le feu follet Stephon Marbury (+ 3.9). Terrell Brandon (+ 3,5) fait la jonction entre le trio de tête et les poursuivants Mike Bibby (+ 2.7), Sam Cassell et Andre Miller (+ 2.6 chacun). Viennent ensuite Nick Van Exel (+ 2.1), Penny Hardaway et Travis Best (+ 1.9 chacun) qui complètent le Top 10. Dans le positif, on trouve également Rafer Alston (+ 1.4), Kenny Anderson (+ 1.2) et Damon Stoudamire (+ 0.1). 4 meneurs voient leur équipe mieux performer offensivement sans eux : Brevin Knight (- 0.1), Tim Hardaway (- 1.1), mais surtout Allen Iverson (- 1.2 !) et Rod Strickland (-7,9 !).
Ce classement, même s’il a ses failles, permet de mieux se rendre compte de l’impact des meneurs sur le niveau offensif de leur formation. Principaux perdants de ce changement de classement, Allen Iverson chute du 9ème au 16ème rang, Nick Van Exel du 2ème au 8ème rang ou encore de Damon Stoudamire qui passe de la 7ème à la 13ème place. À l’inverse, les jeunes Mike Bibby (de la 14ème à la 5ème place) et Andre Miller (de la 15ème à la 6ème place ex-æquo) en profitent pour montrer leur impact dans des équipes il est vrai en reconstruction.
4) L’efficacité défensive
On fait la même chose que pour l’efficacité offensive. Le classement simple commence avec Terrell Brandon et ses 90,5 points encaissés/100 possession. Il est suivi de près par Sam Cassell (91,3), de Jason Kidd (92,5) et de Nick Van Exel (92,9). Derrière, le trou est fait avec Penny Hardaway (94,6), Rafer Alston (95,0), Brevin Knight (96,3), Damon Stoudamire (97,1), Allen Iverson et Travis Best (97,9 chacun). Aux portes du Top 10, on retrouve Kenny Anderson (98,4), Stephon Marbury (99,3), Steve Nash (101,5) et Rod Strickland (101,8). Le trio qui ferme la marche est composé de Mike Bibby (104,0), d’Andre Miller (105,5) et de Tim Hardaway (108,5).
Quand on regarde le différentiel, la donne est complètement chamboulée. Le meneur ayant le plus gros impact sur la défense de son équipe se nomme Stephon Marbury avec 3,1 points encaissés en moins par les Bucks quand il est sur le terrain, suivi de près par Nick Van Exel (- 2,9) et de Sam Cassell (- 2,5). Derrière, on retrouve le trio Brevin Knight (- 1,0), Kenny Anderson et Andre Miller(- 0,4 chacun). Seulement 6 meneurs améliorent l’efficacité défensive de leur équipe, c’est très peu. Étonnamment, les 3 meneurs présents dans les All-Defensive Teams (Penny Hardaway en All-Defensive First Team, Jason Kidd et Allen Iverson en All-Defensive Second Team) voient leur équipe avoir une meilleure efficacité défensive…… sans eux.
Le reste du Top 10 est donc complété par Penny Hardaway (+ 0,7), Travis Best (+ 0,9), Mike Bibby (+ 1,0) et Terrell Brandon (+ 1,2). Jason Kidd finit cette fois-ci au pied du Top 10 avec un + 1,3, suivi de Rafer Alston (+ 1,7), de Damon Stoudamire (+ 1,9) et de Steve Nash (+ 2,0). Comme pour l’efficacité offensive, le trio en queue de peloton est composé de Rod Strickland (+ 2,1), d’Allen Iverson (+ 2,8) et pour conclure de Tim Hardaway (+ 4,7 !).
On peut constater que les joueurs ayant un impact positif offensivement comme défensivement sont peu nombreux. Ils ne sont que 5 d’ailleurs : Nick Van Exel, Sam Cassell, Kenny Anderson, Andre Miller et surtout Stephon Marbury, impressionnant d’impact sur les Bucks. Quand il est sur le terrain, Milwaukee marque 7 points de plus que son adversaire sur 100 possessions, un total énorme !
En conclusion, on peut voir que la présence d’Allen Iverson dans la All-NBA First Team est une escroquerie sans nom. Sur les 17 meneurs étudiés, il est 6ème au PER, 17ème au CCP, 8ème au nombre d’assists/match, 1er au nombre de turnovers de la NBA, 17ème au ratio assist/turnover, 9ème à l’efficacité offensive comme défensive (16ème à chaque fois dans l’impact sur son équipe !). Il a surtout de la chance d’être le 3ème plus gros temps de jeu de l’étude et avec la 2ème équipe au Pace afin de gonfler ses stats au scoring. Mais à part ça, c’est loin de la concurrence dans tous les domaines !
Steve Nash quant à lui prouve que sa place en All-NBA Second Team est loin d’être illogique : 2ème au PER, 5ème au CCP, 5ème au nombre d’assists, 4ème meilleur ratio assist/turnover et surtout meilleur plus-value à l’efficacité offensive. Il sait pas défendre, mais on lui pardonne aisément.
Stephon Marbury n’est pas le joueur aux stats les plus clinquantes, mais c’est le joueur le plus important pour son équipe malgré un déchet important que le relègue au 11ème rang du CCP. C’est le même constat pour Sam Cassell qui brille plus offensivement (4ème PER) pour atteindre une All-NBA Third Team pas imméritée, mais en étant moins bon que les deux joueurs qui vont suivre.
Jason Kidd et Nick Van Exel sont clairement au-dessus du lot et squattent presque en permanence les hauteurs de tous les classements (1er et 2ème au CCP, au nombre d’assists, au ratio assist/turnover, à l’efficacité offensive pure, 3ème et 5ème au PER,….). Ils auraient mérités d’accompagner Penny Hardaway (seul meneur FP incontesté et très large leader au ranking) et Steve Nash dans les All-NBA Teams.
Brevin Knight s’impose comme la référence en terme de meneur passeur-défenseur (3ème au CCP, 4ème à l’efficacité défensive corrigée) malgré son jeune âge, tandis que Mike Bibby montrent chiffre à l’appui que l’on peut bâtir autour d’eux avec des excellentes stats sur l’efficacité. Mention à Andre Miller efficace des deux côtés du terrain et 8ème PER : s’il réduit son nombre de perte de balles, il s’imposera comme un membre d’une All-NBA Team sans soucis.
On peut également se demander si Slam à fait le bon choix de garder Damon Stoudamire au vue de son équipe déjà bien pourvue en scoring. Hormis le PER, toutes les autres stats sont en faveur du joueur des Hawks. Les Hawks sont au même niveau que l’an passé malgré la perte de Kerry Kittles, et Kenny Anderson n’y est pas étranger.
Travis Best est le meneur de l’ombre, correct par tout mais limité pour obtenir un rôle important dans l’équipe. Néanmoins, il est propre et utile des deux côtés du terrain, parfait pour accompagner une triplette intérieure aux Hornets.
Pour Rod Strickland, il est temps que sa carrière s’arrête, ses statistiques sont tout simplement désastreuses (17ème au ranking, 14ème au CCP, 17ème à l’efficacité offensive corrigée, 15ème à l’efficacité défensive corrigée, son équipe perd de 10 points/100 possessions dès qu’il est sur le terrain !). Il n’a tout simplement plus le niveau d’un titulaire NBA.
Quant à Terrell Brandon, il apparait lui aussi comme très sous-estimé, éclipsé par le gros Shaq, mais il est indiscutablement dans le Top 10 à son poste, statistiques à l’appui !
Jason Kidd fait partie des grands oubliés des récompenses NBA une fois de plus….
PS : Bilouu, j’arrive pas à mettre dans l’article ton tableau récapitulatif ^^
Putain le con, c’est pour ça que les stats d’Allen Iverson sont à ce point faussées, la période aux Pacers plombe également ses efficacités offensives et défensives ! Ça me paraissait bizarre que le gars soit à ce point largué dans toutes les catégories quand même ^^
Pareil pour Rod Strickland qui traîne comme un boulet sa période au Magic.
Pour le trio Marbury-Iverson-Strickland, faut prendre avec des pincettes les deux efficacités du coup
J’ai mon fichier du Win share qui va être prêt aussi … J’ai réussi à automatiser le Win Share offensif, mais je galère à automatiser celui du Defensive WS à cause de cette efficacité défensive des joueurs qui n’est pas extraite par le log. Et quand j’essaie de reprendre la formule de basket reference, je n’arrive pas à avoir un meilleur résultat. La ruse que j’ai trouvé serait de copier les données dans l’ancien index, mais ensuite il y a un problème de caractère avec ma rechercheV entre l’export du log, et le copier de l’index …
Excellent article, vraiment intéressant à lire et découvrir. Ça met en lumière des choses qui sont difficilement visibles, super boulot.
Chez les meneurs ne cherchez pas, à la fin, Penny rules 🙂
Ah tu as fais sa bien Tkalba =)
Je mettrais le tableau ce soir en fin d’article !
A noter que le stats de marbury sont peut être un peu faussées car il a jouer chez les Knicks en début de saison !
Putain le con, c’est pour ça que les stats d’Allen Iverson sont à ce point faussées, la période aux Pacers plombe également ses efficacités offensives et défensives ! Ça me paraissait bizarre que le gars soit à ce point largué dans toutes les catégories quand même ^^
Pareil pour Rod Strickland qui traîne comme un boulet sa période au Magic.
Pour le trio Marbury-Iverson-Strickland, faut prendre avec des pincettes les deux efficacités du coup
J’ai mon fichier du Win share qui va être prêt aussi … J’ai réussi à automatiser le Win Share offensif, mais je galère à automatiser celui du Defensive WS à cause de cette efficacité défensive des joueurs qui n’est pas extraite par le log. Et quand j’essaie de reprendre la formule de basket reference, je n’arrive pas à avoir un meilleur résultat. La ruse que j’ai trouvé serait de copier les données dans l’ancien index, mais ensuite il y a un problème de caractère avec ma rechercheV entre l’export du log, et le copier de l’index …
Bref si vous avec une idée pour y remédier
a noter que Stoudamire n’a joué que 38 matchs cette année, c’était Barry le PG titu les 44 autres
Excellent article !
Brandon éclipsé, mais il est habitué à des POs de haut vol, perso ça me va 🙂
Super article Tkalba 👍
Nash a joué la moitié de la saison SG, ça explique sa petite 5eme place ds le classement des meneurs gestionnaire.
Quelqu’un veut pondre un article sur le Win share ?
Tout est prêt mais j’ai grave la flemme et plus trop le temps de le faire
Super article 😉
C’est clair que NVE et Kidd sont très sous côtés, on est heureux de l’avoir à la mène du côté de Toronto 😀
Excellent article, vraiment intéressant à lire et découvrir. Ça met en lumière des choses qui sont difficilement visibles, super boulot.
Chez les meneurs ne cherchez pas, à la fin, Penny rules 🙂